Appréciation littéraire :
Arsène Lupin : L’aiguille creuse
Maurice Leblanc
Résumé :
L’aiguille creuse est un des livres de la série Arsène Lupin; celui-ci est un roman policier avec un peu de romantisme. Dans ce récit, Isidore Beautrelet, un jeune homme de 17 ans essaie de résoudre une énigme mystérieuse qui parait sans fin. Isidore réussira-t-il à retrouver son ennemi M. Lupin?
Appréciation :
Le livre ‘’l’aiguille creuse’’ n’est pas le style de livre qui m’intéresse habituellement, et cela, pour plusieurs raisons. Mais, dans ce roman, il y avait quelque chose qui sortait de l’ordinaire et qui m’a beaucoup plus. Si j’ai a donné une note sur 10 à ce récit, je donnerais un cinq, car autant j’ai aimé ma lecture, autant il y avait certains petits détails qui me déplaisait. Je vais donc vous expliquer plus en détail les aspects que j’ai aimés ainsi que ceux que j’ai moins aimés et pourquoi. Le tout accompagner d’exemples.
La première chose qui m’a attiré dans ce livre, c’est l’intrigue. Dès le début, je sentais que c’était un roman rempli d’intrigues et de revirements. Et puis, je n’avais pas tort, tout au long du livre il y a des questionnements et des revirements inattendus. Les deux revirements qui m’ont le plus impressionné c’est premièrement lorsqu’on apprend que Isdore n’est pas mort et qu’il est amoureux de Raymonde, la nièce du comte de Gesvres, et le deuxième à la fin de l’histoire c’est de savoir que Louis Valméras n’était nul autre que Arsène. Cet aspect du livre est surement celui que j’ai le plus aimé, car les livres avec de l’intrigue sont parmi mes préférés!
Or, durant ma lecture il m’a fallu du temps pour apprécier et comprendre ce que je lisais. Au début, tout était vague ce qui ne m’amenait pas à aimer ma lecture, car je ne comprenais pas le sens de l’histoire. Je crois que c’était un livre quand même complexe au niveau de la langue, car il était écrit en français de France, donc bien sûr il contenait des expressions ou des blagues très peu connues dans mon langage habituel. C’est pourquoi il a fallu que je lise plus loin ou même que je relise plusieurs fois certaines parties du livre pour bien comprendre. Et cela, dès le début du livre, car on peut remarquer dès la page six la phrase «Elle s’y rendait à tâtons». Sans le dictionnaire, je n’aurais pas compris que ça signifiait à l'aveuglette. Tout cela ne m’a pas aidé à me retourner dans le roman. Mais malgré les difficultés que j’ai pu rencontrer, la construction des phrases était faite de façon intéressante et différente, mais elles étaient aussi complexes. Les livres que je préfère sont ceux avec une qualité de langue simple à comprendre, car pouvoir m’imaginer les scènes dans ma tête me permet de mieux comprend l’histoire. À la lecture de ce récit, j’ai eu de la difficulté à m’imaginer les scènes, car j’étais beaucoup trop concentré à comprendre l’histoire en général sans m’attarder sur les détails.
De plus, j’ai trouvé que la chronologie des événements pouvait être difficile à comprendre, c’est peut-être seulement moi, mais j’avais beaucoup de difficulté à me retrouver dans ma lecture et dans les personnages. Même s’il n’y avait pas un grand nombre de personnages principaux, les dialogues étaient difficiles à comprendre puisqu’il y avait plus de deux individus dans les conversations. Ceci me mêlait parfois dans mes idées. Je me suis donc souvent posé la question suivante : « Qui parle et avec qui dans ce dialogue? » Ce qui complexifiait d’avantages c’est qu’il y avait beaucoup de personnages secondaires ou même juste figuratifs , qui apparaissaient et disparaissaient d’un coup. Cela mêlait les idées. Par exemple, le chauffeur d’automobile ou le greffier du juge d’instruction; on ne sait pas ce qui leur arrive, ils ne font que disparaitre.
Le thème de l’œuvre est un aspect qui m’a beaucoup plu, car en même temps d’être un récit policier et d’aventures, il y avait une histoire d’amour entre Asrène et Raymonde. Et ces trois types de romans sont mes préférés. J’ai trouvé qu’ils étaient bien agencés. L’histoire d’amour créait des aventures et même des mésaventures que les policiers eux devaient essayer de résoudre. Aussi, ce qui a beaucoup attiré mon attention c’est le côté historique du récit, car durant toute l’aventure et les péripéties, il est question du trésor royal qui remonterait à Jules César. L’histoire de la France est souvent abordée elle aussi. Malgré le côté invraisemblable du jeune homme de 17 ans qui résout tous les problèmes possibles et du cambrioleur qui lui peut tout faire ce qu’il veut, ce livre m’en a apprit un peu à propos de la France et de l’histoire du trésor royal.
Mais malgré les aspects que je n’ai pas aimés due à leurs complexités et aux défis que j’ai du relevé, j’ai beaucoup aimé l’histoire en général, car j’ai trouvé que tous les rebondissements et les événements donnaient un côté original au récit. J’ai aussi trouvé cela original qu’un simple cambrioleur puisse apporter autant d’émotions et de péripéties avec sa simple présence.
Alors, voici pourquoi j’ai aimé et que je n’ai pas aimé ce roman. En espérant que mon point de vu est plus claire face à ce roman grâce à mon appréciation. Pour conclure, je recommanderai ce roman à des gens du niveau avancé et à des gens qui aiment les rebondissements inattendus et le suspense.
http://www.youtube.com/watch?v=E6tRzHYYpo8
Merci
Frédérique
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